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Quelle allure!

Publié le 21 septembre 2012

On se met en forme, on se fixe des objectifs, mais pour les atteindre, ces facteurs ne suffisent pas, il faut de la finesse. Et la finesse, dans la course du moins, se voit à l’allure. Entendons-nous, l’allure étant notre rythme, notre cadence de course, bien sûr.

Je me présente donc à une course. Après toutes ces préparations, les réflexions d’usage et la ferme intention de faire la plus belle course de l’année, le coup de départ est donné. Bang, la frénésie m’emporte, je cours à toute allure, c’est tellement facile. Bon, bon, je me rappelle, je dois me contenir, mais j’essaie quand même de mettre des secondes en banque pour la fin de la course, invariablement difficile.

Mal m’en prend, c’est à mi-course que les choses se corsent. Qui l’eût cru. À bout de souffle, les jambes lourdes, ma lutte maintenant se limite à m’assurer que je cours, l’année va être longue. Après une minute ou deux, l’équilibre se rétablit, j’augmente la cadence avec une prudence nouvellement acquise. Je pousse un peu et m’assure de finir de façon assez égale. Résultat assez égal aux autres fois. Mais que s’est-il donc passé?

En fait, j’ai utilisé les bons outils, mais avec des pouces au bout des doigts. L’allure donc, si on s’en sépare même très peu, nous fait payer cher les écarts à son état optimal. Facile d’aller plus lentement, c’est comme payer d’avance quelque chose qu’on connaît déjà. Alors comment savoir quelle est cette allure de rêve?

C’est celle évidemment qu’on peut tenir jusqu’à la fin, puis s’effondrer peut-être, n’y laissant rien de retenue. C’est donc une vitesse de «guts», à l’image de Steve Prefontaine, pour qui il n’y avait que cette façon de courir. Risqué dites-vous, suicidaire plutôt, mais tentant pour peu qu’on soit un peu primate. C’est aussi celle à laquelle, même en fin de parcours, reste quasi intacte.

Deux solutions s’offrent à nous pour trouver la cadence idéale. Une à court terme, basée sur des intervalles et l’autre à long terme, basée sur une sorte d’introspection. Pour la première, c’est simple, on divise notre temps total espéré en portions digestibles. Ce qui nous donne des séries de 400, 600 ou 800 m au rythme choisi, avec des temps de récupération entre chaque répétition. On est dans le concret, le chrono.

Pour le long terme, comme d’habitude, c’est plus bénéfique et donc plus difficile. On est dans les sensations. On reste attentif à son rythme respiratoire, à sa foulée, à la position de notre corps, aux tensions qui se présentent. On cherche à garder toute notre concentration sur l’efficacité optimale, avec l’effort minimal. On mesure sa vitesse par la sensation d’effort qu’elle demande. On pense aussi à comment on se sent à cette vitesse. À partir de quoi on identifie des modèles. Ce peut être notre rythme respiratoire, notre sensation de fatigue, etc.

Ce sont des signaux qui nous incitent à ralentir ou accélérer selon le cas. Car, par exemple, si on se trouve sur un parcours en pente, ou même par une journée très humide, les intervalles réguliers ne sont plus de bonnes références.

En pratiquant les deux types d’entraînement, on développe une approche complète et efficace de l’allure optimale à maintenir lors des rendez-vous importants.

Yves Daigneault pour Courir.org
Courriel : yrdaigneault@hotmail.com

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