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Le top 3 de mes gaffes en duathlon et triathlon

Publié le 23 avril 2012

Cet automne, je vous ai raconté mon premier demi-Ironman (août 2011) et ma participation aux Championnats mondiaux de duathlon en Espagne (septembre 2011). J’étais bien fière d’avoir performé à ces deux événements et à plus de 20 autres compétitions la saison dernière. Par contre, cette fois-ci, j’ai envie de partager l’envers de la médaille avec vous. Après 4 ans de compétitions en duathlon et 3 ans en triathlon, je peux vous dire que j’ai aussi fait une tonne d’erreurs. Aujourd’hui, je vous présente le palmarès de mes trois meilleures gaffes. Que ce soit d’oublier de faire un tour à vélo, de manquer un départ ou de mettre mes souliers dans le mauvais pied, il vaut mieux en rire que d’en pleurer. Voici donc de quelle façon j’ai si bien réussi à me tromper!

Un tour en moins

Le 24 août 2008, j’ai fait mon premier duathlon sprint à Valleyfield. Un mois plus tôt, j’avais fait une initiation au duathlon. Maintenant, j’étais prête pour la «vraie» compétition. J’étais anxieuse et j’anticipais ce moment depuis longtemps. J’ai aisément couru mon premier 5 km pour enchaîner rapidement au vélo. À ma grande surprise, je menais la course. Ça m’a un peu déstabilisée. Je devais rouler 4 boucles pour un total de 20 km. À un certain moment, je me suis mise à douter de la distance que j’avais faite. Avais-je parcouru 2 ou 3 tours? Combien est-ce qu’il m’en restait? Panique. Je n’étais plus sûre et je n’avais pas utilisé mon odomètre. J’ai suivi mon instinct et je suis sortie en supposant que j’avais fait mes 4 tours. J’ai continué avec la dernière course à pied pour finalement remporter le duathlon. Du moins, c’est ce que je croyais…

J’étais très heureuse et j’avais oublié que, peut-être, j’avais fait une erreur. Mon bonheur fut éphémère puisqu’un homme m’a rapidement abordé pour me dire que c’était sa femme qui avait gagné parce qu’il me manquait un tour au vélo. En analysant les résultats, il était clair que ma moyenne de 37 km/h n’avait pas de sens. J’ai donc été disqualifiée à ma première participation. J’avais la larme à l’oeil. Croyez-moi, je voulais me reprendre dès le lendemain. J’ai dû attendre un mois pour faire mes preuves au duathlon olympique Esprit de Montréal. Il était hors de question de revoir les deux lettres «DQ» à côté de mon nom.

J’ai toujours cru que, dans la vie, il n’arrive rien pour rien. À Valleyfield, j’ai appris à me relever après un échec. De plus, j’ai découvert qu’il vaut mieux utiliser un odomètre et même des élastiques pour compter la distance exacte à vélo. Je m’explique. On peut mettre des élastiques sur notre guidon qui correspondent aux nombres de tours et en retirer un à chaque boucle complétée. Je l’ai juste compris un peu trop tard!

Un départ en retard

Le 14 août 2010, je participais à mon premier triathlon sprint en eau libre à Drummondville. J’appréhendais tellement la natation. En fait, j’étais morte de peur à l’idée de me retrouver au milieu de la rivière. En cette superbe journée ensoleillée, j’attendais l’arrivée de mes parents tout en m’activant tranquillement. Ceux-ci avaient décidé de venir m’encourager puisqu’ils habitent près de Drummondville. Environ 15 minutes avant le départ, je les ai aperçus. Immédiatement, je suis allée les saluer et j’ai pris le temps de jaser avec eux. J’étais heureuse qu’ils se soient déplacés pour l’occasion. Pendant que je discutais, je regardais distraitement la rivière. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai vu les nageurs de ma catégorie au milieu de la rivière. Je pouvais facilement les reconnaître, car nous avions tous la même couleur de casque de bain. J’ai immédiatement bousculé quelques spectateurs et sauté par-dessus la clôture pour arriver aux abords de l’eau. J’ai demandé à la personne responsable si je pouvais commencer en expliquant rapidement que j’avais manqué le départ. La responsable m’a donné son approbation et un des officiels en kayak a battu en retraite pour venir m’encourager. J’étais tellement énervée que j’ai nagé très vite pour rejoindre le groupe. En mettant les bouchées doubles, j’ai rattrapé le peloton et je suis sortie de l’eau en 11e position. Au total, j’ai gagné la médaille de bronze dans mon groupe d’âge. Ce fut une énorme dose d’adrénaline du début à la fin.

Grosso modo, j’étais satisfaite de ma performance et ça m’a encouragé à recommencer. Devinez ce que j’ai appris? Vaut mieux être sur la ligne de départ 15 minutes avant la course. Le social viendra après.

Les souliers dans les mauvais pieds

Le 25 juin 2011, je me suis rendue au duathlon de Trois-Rivières. Fidèle à mes habitudes, je devais fixer mes souliers à mes pédales avant la course. Mon copain a gentiment offert de m’aider parce que je manquais de temps. Il devait faire vite et a malencontreusement placé le soulier du pied droit sur la pédale gauche et vice-versa. Tout s’est passé très rapidement, car les organisateurs fermaient la zone de transition pour le départ d’une autre catégorie. Un peu plus tard, lorsque j’ai enfourché mon vélo, j’avais de la difficulté à entrer mon pied dans le soulier. J’y suis parvenu, mais j’étais incapable de refermer le velcro.

J’étais première chez les femmes, alors je n’avais pas envie d’arrêter. Je me suis mise à sourire. C’était assez fou. Le parcours était tout mouillé et remplis de virages intenses. Normalement, j’aurais dû me lever fréquemment pour me relancer et tirer sur mes pédales. J’étais complètement déstabilisée et amusée à la fois. J’ai tenu 20 km avec les pieds tout croches. L’idée de m’immobiliser et de corriger la situation m’a souvent traversé l’esprit, mais je ne voulais pas perdre une seconde. À ma grande surprise, j’ai remporté l’épreuve chez les femmes. Je crois que la plupart des participantes ont roulé prudemment et moins vite dû à la violente pluie, tandis que je n’y ai pas vraiment pensé. J’étais bien trop préoccupée par mes chaussures! Curieusement, j’ai obtenu la meilleure moyenne de vitesse à vélo de ma vie. Il était impossible d’en vouloir à mon copain. Au contraire, j’ai dû le remercier pour cet excellent défi.

Malgré tout, cette histoire est la preuve que nous ne sommes jamais mieux servis que par soi-même. Dorénavant, je mets mes souliers dans mes pieds en même temps que je les fixe aux pédales… moi-même. De cette façon, il est impossible de me tromper.

En guise de conclusion, je dois vous avouer que j’ai fait beaucoup d’autres gaffes en course, duathlon et triathlon. Ces maladresses font de bonnes anecdotes à raconter et elles nous font apprécier les jours où tout se passe rondement. En fait, je pense que ces bévues sont des incontournables et qu’il faut se rappeler que le sport n’est qu’un jeu. Il est vrai qu’on prend goût à performer, mais l’erreur est humaine et c’est ainsi qu’on progresse.

En tant qu’enseignante en langue seconde, je répète fréquemment à mes élèves anglophones qu’ils doivent prendre des risques pour apprendre. Peu importe leur niveau de langue, ils doivent absolument faire l’effort de parler français. Bref, il ne faut JAMAIS s’empêcher d’essayer par peur de se tromper.

Merci à Mathieu Sauvé de Peak Performance, Bikram Yoga Montréal, Bicycle Quilicot, Compressport et Bonté Distribution Inc.

Peggy Labonté, pour Courir.org
Courriel : pegpeg30@hotmail.com

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